Au conseil communal

Compte rendu du conseil communal du 25 novembre 2020

  • Lors de l’approbation du PV du dernier conseil, nous avons rappelé notre souhait de distribuer le temps plein d’enseignant payé sur fonds propres par la commune, dans les implantations de nos 3 villages. Nous demandions ½ temps à Saint – Léger vu la grande proportion d’enfant d’origine étrangère qui ont besoin d’un plus grand soutien dans leurs apprentissages. L’autre ½ temps pouvait être distribué entre Châtillon et Meix – le – Tige.
  • Nous avons soutenu un projet proposé par des citoyens du quartier des Neufs Prés. Ceux- ci ont construit un poulailler collectif et demandaient donc une subvention de 500€ comme le prévoit la convention. Diminution de déchets, convivialité du quartier, circuits courts favorisés, préservation de l’écologie … sont autant de points qui nous ont amené à soutenir cette initiative. Nous nous réjouissons de pouvoir goûter à leur omelette géante voire à participer à une chasse aux œufs !
  • Nous avons voté différents ordres du jour d’assemblées générales qui vont avoir lieu d’ici la fin de l’année.

Notre groupe s’est majoritairement opposé à l’ordre du jour de l’AG Vivalia et ce, pour diverses raisons. En voici quelques-unes :

  • L’écologie : le projet est en contradiction avec les conceptions actuelles de l’écologie, quel regret d’aller implanter une telle construction au beau milieu de la nature, sans parler des aménagements titanesques en termes de mobilité !
  • Les terrains : depuis le début, le projet nous est présenté comme acquis, alors que Vivalia n’est pas encore propriétaire de tous ces terrains.
  • Le manque de dialogue : lors des AG, certaines questions, qui sont pourtant fondées et sensées, sont systématiquement éludées.
  • Les soins : l’estimation de ce projet est de 350 000 000 d’euros. Au vu de tout ce que nous vivons actuellement, ces finances ne devraient-elles pas servir à la valorisation du statut du personnel hospitalier et à l’attraction de la fonction hospitalière. Ne manque-t-on pas cruellement d’infirmiers, infirmières, personnels soignants… ? Finalement, que nous manque-t-il ? Un « bel » hôpital ou un hôpital capable de soigner, d’accueillir et d’aider nos malades ? Cet argent ne serait-il pas bien plus bénéfique à la population en investissant dans nos urgences par exemple, en revalorisant le personnel hospitalier, en se dotant de matériel performant et évoluant en fonction des nouvelles techniques.

 

  • 150€ seront versés à l’ASBL Oasis Famille qui apporte une aide précieuse pour des familles en détresse.
  • A la rue des Louvières, un projet de maraîchage d’une superficie de 2ha est en voie de finalisation.  Il sera tenu par Madame Magali Laurent qui souhaite entre – autre établir un partenariat avec les écoles dans son aventure. Notre groupe a souhaité en savoir plus et en particulier si les citoyens de la commune pouvaient être impliqués dans ce projet, via la création d’une coopérative par exemple.
  • A Châtillon, une nouvelle cabine électrique va être installée au centre du village, entre le parking de la Grand rue et le terrain de pétanque. Vu son emplacement, nous avons demandé à ce qu’elle puisse bénéficier d’un habillage en bois afin de se fondre mieux dans le paysage.
  • Fin décembre, début janvier, un appel aux candidats aura lieu sur la commune car un employé administratif doit être engagé. Il faudra avoir obtenu son diplôme de bachelier, avoir une ancienneté éventuelle dans le secteur public et maximum 6 ans dans le privé. Toutes les personnes intéressées pourront postuler à l’administration communale.
  • Suite à un courrier d’un citoyen de Saint – Léger habitant le long de la RN82, nous avons rappelé que la vitesse était une préoccupation importante à ne pas négliger. Il nous a été dit que deux radars fixes allaient bientôt être placés sur la commune.

Nous restons à votre disposition et toujours à votre écoute !

Rions un peu :

Deux Auvergnats assistent à une messe. Arrive le moment où un enfant tend le panier pour la quête. Le premier met une pièce de 1 centime. Le deuxième s’avance et dit : « C’est pour nous deux ».